11/09/2011

Un message de Jean SOLIS

Bonjour, c'est Jean Solis.

Vous m'avez soutenu durant différentes luttes contre la corruption et le pourrissement des administrations maçonniques en France. Nous avons correspondu ou vous m'avez envoyé des messages de sympathie.

Nombre d'entre vous ont remarqué mon long silence sur les combats qui furent les nôtres voici quelques années - et qui animent encore un grand nombre des lecteurs de ce mail. Beaucoup m'ont fait part de leur incompréhension devant cette inertie, voire me l'ont reprochée.

Hélas, sans forfanterie, je ferais remarquer à tous que les désastres préfigurés dans mon dialogue avec le regretté Bruno Etienne (Les 15 sujets qui fâchent les francs-maçons) et annoncés dans les appendices, jugés quelque peu hermétiques par certains lecteurs trop rapides, de Religions, sectes..., ces désastres, trahisons, dégringolades se sont tous réalisés, parfois même au-delà de l'imaginable.

Ce long silence a accompagné ma consternation, mais surtout une prise de conscience de quelque chose de simple, laquelle s'est opérée en quatre temps.

1. La franc-maçonnerie administrative et obédientielle est définitivement le concentré caricatural et sclérotique de la société civile et économique. Inductivement, lutter contre ses dérives (mais elle n'est que dérive) est inutile puisqu'on ne lutte pas contre la cause du mal.

2. Les maladies morales et philosophiques de la société politique/civile se sont développées de façon exponentielle depuis le début des années 2000.

3. Dans le domaine de la gouvernance politicienne, "plus c'est gros plus ça passe". On l'a vu dans la maçonnerie française ces dernières années ; on l'a vu en politique depuis des décennies.

4. Il y a, autour de moi (de vous, de nous), des situations de détresse en tout genre de plus en plus nombreuses et vous/nous subissons des aggressions croissantes d'un système qui nous échappe et dont nous ne voulons plus, pour nous et pour nos enfants à qui nous léguons un tas de m...

Je n'en dirai pas plus. Comme vous êtes nombreux à le savoir : il est plus facile de faire son devoir que de le connaître. J'ai fait le mien.

Voici deux liens : une vidéo, et la modeste maison d'édition à laquelle je participe, pour réveiller les consciences, parce lire "autre chose" c'est rester libre.

Merci à vous de relayer le message.

http://www.hiram.be/Jean-Solis-repond-a-Book-Hebdo_a5385.html

http://www.editionsdelahutte.com

Eques A Virtute S.

Aucun commentaire: