ORDRE DE LYON
ORDRE MACONNIQUE RETABLI DE MEMPHIS ET
MISRAIM
Souverain Sanctuaire de Béthanie
R :.
L:. LA SAGESSE TRIOMPHANTE
Loge de
recherche sur les Rites Egyptiens
A LA GLOIRE DU GRAND
ARCHITECTE DE TOUS LES MONDES
MES BIEN AIMES FRERES
EN VOS DEGRES GRADES ET QUALITES
L’IRREGULARITE DE LA FM ANDERSONIENNE ET LES
NOTIONS DE GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS OU D’ETRE SUPREME
Nul n’ignore
la fidélité de l’Ordre de Lyon, dans la maintenance de la Tradition
de l’Ancienne Maçonnerie, qu’il échet de nommer Maçonnerie de Tradition, par
opposition à la Maçonnerie Moderne ou Andersonienne.
Déjà lors de
plusieurs travaux, furent soulignés combien les Anciens Devoirs rattachent le
Maçon Opératif et non spéculatif, à la Doctrine de l’Eglise, avec des rappels
incessants à la Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, à la
Bienheureuse Vierge Marie, en matière de Foi Chrétienne, il n’est pas laissé de
place à la spéculation sur Qui est Dieu, sur la Procession des Personnes, sur
la place de Marie, attendu, ne l’oublions pas, que la FM de Tradition est
Chrétienne et historiquement résolument Catholique (1).
Que l’on ne
se méprenne pas ! Bien après l’énoncé des Anciens Devoirs, bien après les
première et deuxième éditions des Constitution s d’ANDERSON, à savoir en 1742, L’Apologie
pour l‘Ordre des Francs-Maçons précise d’une part «
On évite soigneusement d’admettre dans l’Ordre
ni Athée, ni Déiste, autant qu’il est possible de reconnaître dans un
Aspirant » et d’autre part, « l’Ordre n’admet que des chrétiens. »
(2).
Est-il utile
de préciser qu’au mieux, des Francs-Maçons aujourd’hui se considéreront comme
déistes, ce qui s’oppose au théisme et
est contraire à la base principale de la FM de Tradition.
Alors que le
théisme se définit comme la croyance de l’homme en Dieu qui se révèle notamment
dans Sa Création, le déisme permet de croire à une puissance au mieux divine -mais qui n’est pas Dieu qui Se révèle -, au
pire en une Force supérieure appelée parfois Etre Suprême et que les
philosophes du XVIII° siècle appliqueront à la Nature par exemple.
I
La conscience de Dieu dans la FM de
Tradition
1 – Manuscrit REGIUS
« Celui
qui veut embrasser ce métier doit aimer Dieu et la sainte Église … Prions
Dieu, roi tout-puissant et sa mère immaculée Marie que nous gardions ces
règlements et ces points, à l'exemple des quatre martyrs renommés, qui furent
bons maçons, sculpteurs et imagiers. »
2 – Manuscrit COOKE (1400)
« Celui qui
veut embrasser ce métier doit aimer Dieu et la sainte Église,
3 – Manuscrit
Grand Lodge N°1 (1583)
« Que la
puissance du Père du ciel, et la sagesse du Fils glorieux, par la grâce et la
bonté du Saint Esprit, qui sont trois personnes en un seul Dieu, soient avec
nous à notre commencement, et nous donnent la grâce de nous gouverner ici dans
notre vie de telle sorte que nous puissions parvenir à Sa béatitude qui n’aura
jamais de fin. Amen. »
4 – Manuscrit William
WATSON (1687)
« Grâces
soient rendues à Dieu, notre Père glorieux, créateur du ciel et de la terre, et
de toutes les choses qui y sont … »
5 – Manuscrit DUMFRIES
N°4 (1710)
« Que le
Père tout-puissant avec la sagesse du glorieux Jésus et par la grâce du
Saint-Esprit, qui sont trois Personnes en un seul Dieu que nous implorons, soit
avec nous au commencement et nous donne la grâce de nous gouverner en cette
existence afin que nous puissions parvenir à son Royaume qui n'aura pas de fin.
Amen.
Ces
rappels de l’Ancienne Maçonnerie, les fidèles de notre Atelier ne peuvent que se les remémorer, comme
d’autres Anciens Devoirs en d’autres
travaux, évoqués.
Outre les
motifs déjà livrés quant aux raisons
historiques et dogmatiques qui poussèrent les Protestants prenant pour
champions les pasteurs ANDERSON et DESAGULIERS, à déchristianiser la FM de
Tradition, du fait de leur opposition à Rome (3), cette attitude voudrait trouver son excuse dans l’affirmation d’un
sens laïc à la fameuse lettre « G » où si souventes fois elle est
déclarée comme étant l’initiale de Dieu, on préférera au XVIII° siècle déclarer
qu’elle est l’initiale de la Géométrie.
Ainsi en l’ouvrage paru en 1730, La Maçonnerie disséquée, ce dialogue au grade de compagnon de
métier : « Q. - Que signifie cette lettre G ?/ R. - Géométrie, ou
la cinquième Science. » Il en est de
même dans le Ms WILKINSON de 1727
(4).
La
Géométrie ainsi évoquée, nous ramène à
notre seule condition humaine, sans rapport avec Dieu, lorsque le REGIUS déclare : « grâce à la bonne Science de la
Géométrie, naquit le Métier de la Maçonnerie ; c’est ainsi, en Égypte, que le
clerc Euclide a fondé le Métier de la Géométrie. » (4). Ce même Manuscrit nous
dit que la Géométrie permet de séparer le vrai du faux.
Nous
demeurons dans le domaine de l’humain, le Ms COOKE (1410) précisant
bien : «la Science de la Géométrie a été inventée. » (4). Cette
Importance de la Géométrie sera confirmée dans le Ms GRAND LODGE (1593) par cette déclaration : «Ce
sont là les sept Sciences libérales, lesquelles se trouvent toutes dans une
seule Science, savoir la Géométrie, et on peut prouver que toute la Science du
monde se trouve par la Géométrie. Car la Géométrie enseigne à l’homme la
mesure, la pondération et le poids de toute espèce de choses sur terreo; et il
n’y a aucun homme, pratiquant quelqu’art que ce soit, qui ne travaille par
quelque proportion ou mesure ; et aucun homme n’achète ni ne vend, si ce n’est
par quelque mesure ou quelque poids, et tout cela constitue la Géométrie ; et
ces marchands, ces artisans, et tous les autres des six Sciences, spécialement
les laboureurs et ceux qui cultivent toute espèce de grains et de semences, les
planteurs de vignes et les producteurs d’autres fruits1. Car ni par la
Grammaire, ni par l’Arithmétique, ni par l’Astronomie, ni par aucune de toutes
les autres six [Sciences], un homme ne peut trouver de proportion ni de mesure,
sans recourir à la Géométrie. C’est pourquoi je pense que la Science de la
Géométrie est la plus noble de toutes, celle qui génère toutes les
autres. » (4)
Qu’il
nous soit permis une réflexion sur le sens de cette parole :
« Toute la science du
monde se trouve dans la Géométrie »
La
science du monde est privilégiée par cette interprétation de la lettre G, sur
la Sagesse que Dieu a préparé pour nous !
L’Apôtre
dont on ne peut nier qu’il sera à la base de la métaphysique chrétienne nous
rappelle : « Pourtant il est une sagesse que nous prêchons parmi les
parfaits, sagesse qui n'est pas celle de ce siècle, ni des princes de ce
siècle, dont le règne va finir. Nous
prêchons une sagesse de Dieu mystérieuse et cachée, que Dieu, avant les
siècles, avait destinée pour notre glorification. » (I Cor.
II ; 6-8)
Alors
que l’Ancienne Maçonnerie de Tradition,
ainsi que le montrent les Anciens Devoirs, attachaient une grande importance à
la Prière, à l’amour de Dieu, la conception d’une Géométrie strictement humaine, en charge de
permettre la construction de temples matériels, de n’entrevoir que l’histoire
du temple de la Jérusalem terrestre, a voilé la compréhension selon laquelle
cette Géométrie symbolisée par la lettre G avait pour mission d’évoquer la
construction de notre Temple intérieur, en vue de préparer notre entrée dans la
Jérusalem céleste.
«Détruisez ce
temple, et en trois jours je le relèverai. » (Jean II, 19)
Dès
lors que le nom de Dieu n’est plus inscrit dans les Rituels, dès lors que la
queste du Temple intérieur et la recherche de la Jérusalem céleste, ne sont
plus les objectifs des maçons, dès lors que le spirituel est banni au profit du
matériel, du visible et de l’humain , la Géométrie évoquée dans le cadre des Anciens Devoirs ,
se rattache aux Arts Libéraux, fruits de la main de l’homme.
Si
donc c’est l’homme qui construit et cela sans rappel et sans reconnaître sa
dépendance à Dieu, intervient alors un terme nouveau. Difficile de balayer d’un
coup le Théisme des Anciens Devoirs, à
la place du terme « Dieu » qui a un sens précis, un Dieu révélé qui
Se révèle Lui-même et qui agit dans Sa
Création, il sera mis ne place si j’ose
dire le terme de GADLU.
II
Le G.A.D.L.U.
L’influence
Calviniste est reconnue comme étant à
l’origine du terme GADLU. Déjà chez Calvin et en ses Institutions de la religion
chrétienne, sont employés les termes « Grand Architecte » et
par ailleurs « Architecte de l’Univers ». Malgré la possession d’une
édition moderne de cet ouvrage en notre
bibliothèque, force est de constater que nous ne retrouvions pas les références
quant à l’emploi de ces expressions chez Calvin, lorsque jamais celles-ci ne
furent livrées par les historiens qui avancent cette vraisemblable thèse.
L’influence
du Protestantisme est considérable dans le cadre de cette Maçonnerie rénovée ou
Moderne, et l’importance du Calvinisme fut bien examinée notamment par notre
BAF Patrick NEGRIRER, dans le cadre de ses nombreux ouvrages.
Le
terme GADLU, concerne-t-il Dieu ou autre chose ?
S’il
désigne Dieu pourquoi ne pas employer ce mot ?
La
croyance en Dieu suppose une Foi. Or, ne nous y trompons pas, avec
ANDERSON , ses Constitutions et la
Maçonnerie Moderne ou Nouvelle Maçonnerie, il n’est plus fait de place à la Religion
et à la Foi.
Avec ANDERSON le terme « religion »
prend un volontaire tout autre sens, que celui qui lui est attaché. Alors que
la Religion est la conséquence de Dieu Se révélant Lui-même et prouvant Sa
manifestation envers l’homme, tout en agissant dans le champ de Sa Création,
ANDERSON pour sa part réduira la religion à cette définition : «« Un
maçon est obligé, par son engagement, à obéir à la loi morale, et s’il comprend
correctement l’Art, il ne sera jamais un athée stupide ni un libertin
irréligieux. Mais quoique dans les temps
anciens, les Maçons fussent obligés, dans chaque pays d’être de la religion de
ce pays ou nation, qu’elle qu’elle fût, aujourd’hui, il a été considéré plus
commode de les restreindre seulement à cette religion sur laquelle tous les
hommes sont d’accord, laissant à chacun ses propres opinions, c’est-à-dire
d’être des hommes de bien et loyaux ou des hommes d’honneur et de probité
quelles que soient les dénominations ou croyances religieuses qui aident à les
distinguer, par suite de quoi, la maçonnerie devient le Centre de l’Union… » (5)LA RELIGION NATURELLE …
III
L’ETRE SUPREME
Sous
l’égide de « LA RAISON », d’une prétendue « religion
naturelle », qui trouvera son inspiration
chez les philosophes du XVIII° siècle, seront construits très rapidement des autels à l’Etre Suprême,
être qui n’est pas Dieu, nous allons le percevoir.
L’idée
de « religion naturelle » prend sa source dans la relation que les
philosophes des Lumières font entre l’homme, l’Etat et la Nature. Dieu en tant
qu’être Eternel et indépendant de la
Création n’est plus reconnu comme tel, au point que l’on peut dire que pour ces
philosophes, le Dieu révélé et qui prouve Sa révélation n’existe pas.
Si donc nous reprenons la lecture des Axiomes de Voltaire en son livre Dieu
et l’homme, notre incroyant écrit par exemple : «Voulez-vous
que votre nation soit puissante et paisible ? Que la loi de l’État
commande à la religion. Quelle est la moins mauvaise de toutes les
religions ? Celle où l’on voit le moins de dogmes et le plus de vertu.
Quelle est la meilleure ? C’est la plus simple.Papistes, luthériens, calvinistes, ce sont autant de factions sanguinaires. Les papistes sont des esclaves qui ont combattu sous les enseignes du pape, leur tyran. Les luthériens ont combattu pour leurs princes ; les calvinistes, pour la liberté populaire.
Les jansénistes et les molinistes ont joué une farce en France. Les luthériens, les calvinistes, avaient donné des tragédies sanglantes à l’Angleterre, à l’Allemagne, à la Hollande.
Le dogme a fait mourir dans les tourments dix millions de chrétiens. La morale n’eût pas produit une égratignure.
Le dogme porte encore la division, la haine, l’atrocité, dans les provinces, dans les villes, dans les familles. Ô vertu, consolez-nous ! » (6)
La « religion
naturelle » s’oppose à toute Dogmatique, au sens où cette Dogmatique résulte d’une religion révélée, et dès lors où
chercher sinon dans la Nature visible, les bases de cette révolution ?
N’est-ce pas Rousseau en sa Profession
de foi d’un vicaire savoyard qui introduira l’idée de religion
naturelle lorsqu’il fait dire à son
héros : « Regardant le point où j’étais parvenu comme le point commun d’où
partaient tous les croyants pour arriver à un culte plus éclairé, je
ne trouvais dans les dogmes de la religion naturelle que les éléments de toute
religion. Je considérais cette diversité de sectes qui règnent sur la terre
et qui s’accusent mutuellement de mensonge et d’erreur; je demandais: Quelle
est la bonne? Chacun me répondait: C’est la mienne; chacun disait: Moi seul et
mes partisans pensons juste; tous les autres sont dans l’erreur. Et comment
savez-vous que votre secte est la bonne? Parce que Dieu l’a dît. Et qui vous
dit que Dieu l’a dit? Mon pasteur, qui le sait bien. Mon pasteur me dit d’ainsi
croire, et ainsi je crois: il m’assure que tous ceux qui disent autrement que
lui mentent, et je ne les écoute pas. » (7)
La Morale n’est pas la
Religion et la Religion n’est pas assise sur une Morale mais sur une Révélation
Divine, de laquelle bien entendu, parce que Dieu est Amour, se dégagera par
ailleurs une Morale.
La morale et la Raison sont étroitement liées
dans la pensée des philosophes dits des Lumières, mais aussi dans les
déclarations nées de la Révolution Française, où ROBESPIERRE en son Rapport sur
les idées religieuses & morales : Discours prononcé à la tribune de
la Convention
le 7 mai 1794 - 18 floréal A II, déclare : « Citoyens, …..
L'idée de l'Être suprême & de l'immortalité de
l'âme est un rappel continuel à la justice ; elle est donc sociale &
républicaine. » (8)Avant d’aller plus outre, et afin de justifier notre Dire, signalons que cette Maçonnerie Moderne qui se prétend régulière et qui au regard de la Tradition est totalement irrégulière, proclame selon la déclaration en 1989 de la Grande Loge Unie d’Angleterre , que c’est bien l’Etre Suprême qui remplace le Dieu révélé : « « Pour être reconnu par la Grande Loge unie d’Angleterre, une Grande Loge doit respecter les normes suivantes : […] … Les Francs- Maçons placés sous sa juridiction doivent croire en un Etre suprême. »
Un
Etres Suprême… Terme bien imprécis, et
cela volontairement sans nul doute….
Notre
propos ne sera pas, ce soir, de réfléchir sur les conditions d’une
Maçonnerie Régulière, si celle qui prétend
l’être le fut un jour, au regard de la Franc-Maçonnerie de
Tradition fidèle aux Anciens Devoirs.
Le
rapport du culte de l’Etre Suprême et du
culte de la Nature, nous semble patent et nous partageons les thèses de Mr
BRUGUERETTE écrivant que « la
première en date (5 octobre 1793) de ces
créations religieuses, le calendrier républicain, apparaît avant tout
comme un essai public de divinisation de la Nature. » (9).
Une
parenthèse encore. Qu’il nous soit permis de signaler que le Rituel
Maçonnique pour tous les Rites du
Frère RIEBESTTHAL dédié au GODF, livre des Rituels comme Le cérémonial de la fête du réveil de la Nature, le cérémonial de la
fête du repos de la Nature, notamment. (10)
Reprenant
l’étude de Mr BRUGUERETTE, cet auteur précise que le 10 août 1793, avait été élevé sur
l’emplacement de la Bastille, une statue
de la Nature avec cette inscription : « Nous sommes tous tes
enfants. » (10).
Après
la Déesse Raison, le 8 juin 1794, sera institué toujours par ROBESPIERRE, le
culte de l’Etre Suprême, où notamment il est déclaré : «L’homme sorti des mains de la nature, est né pour
être heureux. » (11)
Mes Bien Aimés Frères,
L’Etre Suprême n’est pas
Dieu, le GADLU peut être entendu comme chacun le souhaite et donc n’est pas de
ce fait Dieu affirmé par ce qu’enseignent les Anciens Devoirs et la FM de
Tradition.
Alors que voulons-nous dire,
lorsque nous évoquons le GADLU ? Les œuvres priment sur la Foi comme le
rappelle ORIGENE (12). A défaut d’être certain de défendre une Foi, défendons
notre prochain, la Fraternité est un Ancien Devoir aussi important, et tentons du moins, à défaut de confesser la Foi,
d’être fidèle à notre engagement de Fraternité envers tous les êtres.
J’ai dit.
1 Un recueil
des principaux travaux de l’Ordre est en préparation.
2 Anonyme :
L’Apologie
pour l‘Ordre des Francs-Maçons 1742
4 Pour
faciliter la transcription des textes liés aux Anciens Devoirs, nous usons de
l’édition électronique donnée par Guy CHASSAGNARD, dont le livre imprimé s‘intitule : Maçons
opératifs et Maçons acceptés. Les Anciens Devoirs, Pascal GEALODE
Editeur. Pour l’étude des A D, il échet de ne pas oublier les travaux de Patrick NEGRIER, principalement aux
Ed. Ivoire-Clair. Cf. aussi l’édition
largement utilisée pour le texte des
AD : La FM Documents fondateurs, L' Herne Ed, Cahier N° 62, 1992 et 2007. Pour un accès
internet au livre de Samuel RICHARD . RICHARD
Samuel - La maçonnerie disséquée - franckbail
5 Daniel LIGOU : op. cité, page 179.
6 VOLTAIRE : Dieu et l’homme, Axiomes. Nombreuses éd. Pour un accès aisé avec Internet : http://fr.wikisource.org/wiki/Dieu_et_les_hommes/%C3%89dition_Garnier/Axiomes
7
ROUSSEAU : Profession de foi d’un vicaire savoyard. Profession de foi d’un vicaire
savoyard. Nombreuses éd. Pour un accès
aisé avec Internet : http://sami.is.free.fr/Oeuvres/rousseau_savoyard.html
8
ROBESPIERRE : Rapport sur
les idées religieuses & morales : Discours prononcé à la
tribune de la Convention
le 7 mai 1794 - 18 floréal A II. Nombreuses
éd. Pour un accès aisé avec
Internet : http://www.gutenberg.org/files/29887/29887-h/29887-h.htm#17940507
9
J. BRUGUERETTE : Les créations religieuses de la Révolution,
Lie BLOUD Ed, 1904, page 6.
10 F :. RIEBESTTHAL : Rituel Maçonnique pour tous les Rites, Strasbourg, 18826 ;
Document trouvé sur Internet, le site offre la copie de l’ouvrage, mais ne
donne pas de lien externe.
11 ROBESPIERRE : Discours prononcé à Bruxelles le 20
Brumaire. Pour un accès aisé
avec Internet : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6248321g/f5.image
12 ORIGENE : Entretien avec Héraclide, Ed Le
Cerf, Coll. SC N° 67, pages 73-77.